► Terminus Elicius

Quatrième de couverture : Toujours le même trajet. Istres-Marseille. Marseille-Istres. Sa mère, son travail. La vie de Jeanne est en transit. Elle la contemple en passager. Une lettre suffira à faire dérailler ce train-train morose : "Vous êtes si belle, Jeanne". Glissée entre deux banquettes, elle l'attendait. Une déclaration. D'amour. De guerre. Car l'homme de ses rêves est un monstre, un tueur sans pitié. Elle sera sa confidente, son épaule. Il sera son âme soeur, son dilemme. Le terminus de ses cauchemars...

Mon avis: Jeanne, secrétaire dans la police nationale, au quotidien minuté, qui vit encore chez sa mère à bientôt 30 ans. Tous les jours elle monte dans le même train, à la même place, chaque minute de chacun de ses jours sont identiques. Jusqu'au jour où elle trouve une lettre dans le train à SA place. Une lettre écrite par un tueur, le tueur recherché par son chef: Esposito. En parler à son chef ? Jeanne a trop peur. Mais aussi, ce tueur est le seul à la voir, le seul à savoir qu'elle existe elle pourtant si invisible, il l'aime. 

Jeanne va-t-elle décider d'agir ou se laisser-t-elle emporter par ces beaux mots d'amour ?

Mais qui est donc le mystérieux auteur des lettres ? 

Un super thriller qui nous fera douter jusqu'au bout, douter du tueur, de Jeanne, d'Esposito, douter tout simplement de ce que chaque Homme est capable de faire après avoir enduré une immense souffrance. Du grand Giebel 

Fini de lire le 15/10/2013