► une mort sans nom

4iéme de couverture : Une jeune femme est retrouvée nue, adossée à une fontaine de Central Park, à New York. Les recherches concernant son identité restent vaines. En revanche, Kay Scarpetta, Marino et Wesley devinent rapidement celle du tueur : Temple Gault. Mais le choix de la ville, de la victime et le changement de modus operandi les laissent perplexes. L'autopsie ne révélant aucune trace de contrainte, ils ne comprennent pas pourquoi la jeune femme a accepté de se déshabiller par ce froid glacial. Scarpetta lutte contre le découragement. À l'exception des dents de la victime, soignées de manière inhabituelle, les indices sont bien minces.

Avis : le suspence qui réside dans ce tome est vraiment prenant, on connait dès le début le nom de l'assassin mais la suite des événements et le fait que personne ne sait où il se trouve rend le suspence encore plus grand, jusqu'à la dernière ligne on se demande vraiment comment tout cela va se terminer. Le lien que le tueur utilise contre Scarpetta et sa nièce Lucie, et les moyens dont Scarpetta se sert de cela est toujours aussi surprenant, et bien sûr Marino toujours fidèle à lui-même.  Ayant lu "Scarpetta" avant celui-ci je connaissais des détails qui chronologiquement ne c'était pas encore déroulé mais cela ne m'a fait que mieux apprécier l'histoire que je découvrais. Les personnages que Patricia Cornwell emmène avec elle dans les enquête de Kay Scarpetta sont vraiment unique et attachant, on s'y attache dès le premier livre.